Abstract
Allamà; Tabatabai est d’une famille qui a donné de grands Oulemas; il est à vrai dire le fruit de quatorze générations d’érudits et de savants de Tabriz. Il vint au monde dans cette dernière ville en 1282 (1903) et décéda à Qom en 1360 (1981).
Il fit ses études primaires en sa ville natale, et à 22 ans, il se rendit à Nadjaf Achraf, ville sainte de l’lraq.
Il passa dix ans en ce centre de science et de théologie islamiques à approfondir ses connaissances religieuses. Il suivit les cours de “fiqh” et du “dogme” islamique auprès d’Oulemas tels que Nâini, Seyed Abol Hassan Esfahâni, et Compâny, et ceux de philosophie avec le grand érudit Seyed Hossein Badkoubi, lui-méme élève de Ojelvé et d’Aga Ali Modaressi. Il approfondit les mathématiques en suivant les cours de Seyed Abol Ghassem Khansâri et ceux de morale de Hâdj Mirra ‘Ali Châzi qui était connu pour sa philosophie pratique et sa gnose. Tabâtabâi écrit dans le condensé de sa biographie: “J’ai étudié la philosophie avec le bien célèbre penseur, feu Seyed Hossein Badkoubi. Au cours des six années pendant lesquelles j’ai suivi les cours de ce grand savant, j ai appris et compris les écrits de Sabzavâri, ceux de Mollâ Sadrâ de Uhiraz, la série de l’ouvrage “Chafâ” d’Avicenne, les livres d’lbn Tarké dans la gnose, d’lbn Maskouyé, dans la morale. Feu Badkoubi était tellement désireux de le familiariser avec les méthodes de la philosophie et le raisonnement logique qu’il lui conseilla d’étudier également les mathématiques. C’est en suivant son conseil qu’il alla aux cours du feu Seyyed Abol Ghassem Khànsâri. C’est avec ce mathématicien que j’ai appris dit-il la géométrie plane, et dans l’espace, l’algèbre déductif, le calcul infinitésimale. Allamé Tabâtabâi passa de la sorte presque 11 ans à Nadjaf.
Retour à Tabriz
C’est en 1314 (1935) que Allamé Tabâtabâi décida pour des raisons auxquelles il fait succinctement allusion dans son autobiographie, de rentrer en sa ville natale: Tabriz. Il écrit lui-même à cet effet: “Je résolus en 1314 (1935) de rentrer en Azerbaïdjan, ma situation financière ne me permettant pas de rester à Nadjaf. Je suris resté à Tabriz 11 ans et quelques mois sans pouvoir occuper tout mon temps à enseigner, les nécessités de la vie m’obligeant à m’adonner à l’agriculture pour vivre ses difficultés morales étaient telles qu’il résolut de quitter sa ville natale, d’autant que les problèmes politiques de l’époque accélérèrent son départ.”
En 1324 (l945), La seconde guerre mondiale prit fin et les alliés qui avaient occupé le territoire iranien quittèrent notre pays les uns après les autres, à l’exception des forces soviétiques qui restèrent en Azerbaïdjan, renforçant le parti démocrate et faisant semblant de mettre fin à leur occupation après avoir livré cette province aux démocrates. Durant les douze mois que les démocrates sévirent dans cette partie de l’Iran (2l azar l324 – 27 azar 1325) la région fut en proie à l’insécurité, aux tueries et aux pillages. C’est pourquoi allamé Tabâtabâi décida de quitter Tabriz pour se rendre dans une ville plus calme, comme Qom par exemple. Il consulta à ce moment le Coran et put lire ce verset: “La protection, en pareil cas, ne dépend que de Dieu, la Vérité. C est Lui qui est le meilleur pour récompenser et pour donner une fin à toute chose “(Coran, XVII, 44). C’est après cet oracle que l’année étant arrivée à sa moitié, Tabatabâi partit pour Qom, centre d’enseignement des sciences religieuses. Il passa là trente cinq ans, occupé à enseigner, à former, ou à écrire des ouvrages sur la religion, la philosophie, la métaphysique et les autres sciences. Il écrit dans son autobiographie en rapport avec cette partie de sa vie: “En 1325, j ai renoncé à tout et j ai quitté ma ville natale. Je me suis rendu à Qom, au centre d’enseignement des sciences religieuses. Je me suis établi Dans cette ville et j’ai recommencé l’étude et les occupations scientifiques”. Il s’agit d’occupations auxquelles Tabâtabâi aspirait de tout son cœur à Tabriz mais auxquelles il lui était impossible de se livrer.”
Vie spirituelle et scientifique de Tabâtabâi, à Qom
En dépit de ses vastes connaissances dans le “fiqh”, le “dogme” et dans les autres sciences islamiques, Tabâtabâi’ fit du commentaire du Coran et de l’enseignement de la philosophie, le point central et d’appui de ses activités. Ce choix lui fut dicté par le devoir dont il avait fortement conscience. Il dit à ce sujet:. Quand je me rendis de Tabriz à Qom, je fis une étude sur les besoins de la société islamique et la situation existante au centre d’enseignement des sciences religieuses de cette ville. Après avoir bien considéré ces besoins, je suis arrivé à la conclusion que le centre en question avait un pressant besoin de commentaires sur le Coran afin de mieux connaître, de mieux assimiler le sens authentique de l’islam, d’un des plus nobles dépôts divins dans l’humanité, et de le mieux faire connaître aux hommes. D’autre part, étant donné que les doutes matérialistes s’étaient répandues dans le peuple, il fallait les dissiper par le raisonnement philosophique et des preuves irréfutables. C’est ainsi que le centre d’enseignement de Qom serait capable de réfuter ces doutes par la force rationnelle, d’établir les principes de l’islam par des déductions philosophiques et scientifiques, et de défendre la cause de la Vérité. C’est pourquoi je crus de mon devoir religieux de déployer mes efforts pour assurer à Qom ces deux besoins essentiels.
C’est justement afin de parvenir à ces buts élevés que Tabâtabôi composa des ouvrages et fit de vastes études pour réussir dans sa tache. Il faut en toute vérité reconnaître que ce grand religieux fut l’un des piliers du Centre d’enseignement de Qom, à l’époque actuelle. Il y a peu d’érudits et de religieux qui n’étaient pas tiré partie des ouvrages ou des cours de l’Allamé Tabâtabâi. Si quelqu’un considère l’ensemble des services de cet homme éminent relativement au commentaire du Coran, à la recherche dans la signiflcation des “hadith”, à la mise en ordre des problèmes philosophiques, à !’élaboration de méthodes nouvelles, à la formation d’experts et de chercheurs dans les sciences islamiques et enfin à l’éducation de personnes honnêtes et capables au service de la communauté, il verra l’œuvre accomplie par lui est celle d’un géant et qu’ordinairement elle ne peut être faite que par un groupe de nombreux érudit.
La renaissance de la science du commentaire du Coran au Centre d’enseignement de Qom.
L un des succès auxquels il parvint à Qom, par la grâce de Dieu, fut de susciter la renaissance du commentaire du Coran. Il composa, à cet effet, le “Tafsir al Mizan”, (le commentaire de al Mizan) en langue arabe, en 20 volumes, sa traduction en persan étant de 40 volumes. Cet ouvrage remarquable contient les notions les plus élevées sur différents problèmes doctrinaux, moraux, sociaux, politiques, historiques etc. La méthode qu’il emploie dans ses recherches est nouvelle, logique et propice ; elle répond aux besoins de la société et du centre d’enseignement de Qom. Il déclare lui même à ce sujet: “Nous commentons le Coran par le Coran et nous expliquons le sens d’un verset par la justification d’un autre verset. Nous déduisons les significations de chaque verset des caractéristiques qu’il contient. Le Coran, comme il le déclare, explique toute chose. Or un livre qui explique tout, peut également se commenter. Le “Tafsir al Mizan” présente différents aspects, dont trois ont un caractère saillant.
1- Le commentaire du Coran par lui-même.
Allamé Tabâtabâi met en relief la cohésion et la coordination des versets du Coran, en employant la méthode dont nous venons de parler. Il prouve ensuite qu’à la suite de cette cohésion et de cette coordination les versets s’expliquent et se commentent les uns les autres Ce procédé original amena une évolution dans le commentaire du Coran, facilitant en même temps la découverte des mystères du Livre et permettant à l’homme d’y recourir dans toutes les phases de la vie et relativement à tous les problèmes sociaux.
2- Les questions sociales.
Les questions sociales qui se trouvent dans “Al-Mizân” surpassent les commentaires que l’ouvrage présente, tant au point de vue quantitatif que qualitatif. Tabâtabâi’ s’efforce, en s’aidant de ses vastes connaissances et de sa perspicacité, de souligner les questions sociales du Coran et y traite de problèmes d’une portée supérieure.
3- Questions philosophiques.
Tabâtabâi qui se double d’un rare philosophe et d’un penseur inégalable du siècle, use de la même originalité dans le domaine de la métaphysique.Il pense d’abord que, contrairement à une propagande infondée et une attitude dénigrante envers la philosophie, cette science consiste, d’après sa vraie acception, à rechercher la sagesse et la vérité, et qu’elle prend sa source dans le Coran. Quant à la métaphysique, ensuite, il déclare que celle-ci n’est autre chose que l’ensemble des vérités de l’être, en tant qu’être, par rapport à Dieu, à l’homme et à l’univers. Tout en commentant les versets du Coran par leurs propres contextes, Le maître traite entre temps, à différentes occasions, de problèmes philosophiques et métaphysiques, et arrive à prouver l’inanité de la philosophie matérialiste. Sa méthode est dans ce domaine comme en d’autres très originale.
L’originalité de Tabâtahâi dans le domaine de la philosophie.
Outre ses cours de sciences islamiques diverses, la composition d’ouvrages selon la méthode traditionnelle, Allamé Tabâtabâi se fit l’auteur d’un système moderne et original consistant à rassembler les notions de la philosophie islamique dans un ordre nouveau, répondant aux besoins du jour. Après la deuxième guerre mondiale les idées d athéisme, l’impiété, le matérialisme et le marxisme se répandirent dans les sociétés islamiques. Certains Iraniens cultivés, et certains intellectuels estimèrent ces idées et ces systèmes, et y adhérèrent. La propagande matérialiste battait son plein. C’est à ce moment que Tabâtabâi qui était devenu le porte-étendard de la culture et de la philosophie islamique, se mit à étudier à fond le matérialisme, le marxisme et la dialectique matérialiste, Après avoir saisi tous les tenants et aboutissants de la philosophie matérialiste, il l’exposa dans ses ouvrages et ses conférences, la réfuta scientifiquement, tout en montrant la supériorité de la philosophie islamique. Le produit de ses efforts dans ce domaine est réuni dans son ouvrage “Le principe de la philosophie et la méthode réaliste”. Bien que cet ouvrage ait été écrit depuis trente ans, néanmoins il peut être considéré comme le meilleur pour réfuter les erreurs du matérialisme.
Le rôle de Tabâtabâi dans l’évolution du Centre d’enseignement de Qom.
Le rôle joué par Allamé Tabâtabâi’ en ce qui regarde l’amélioration et le changement du centre d’enseignement de Qom concerne deux domaines: d’abord la création d’une évolution scientifique de la pensée, et de la mise en place des discussions libres. Ensuite la formation des chercheurs et des élèves. Il éduqua scientifiquement et moralement des disciples éminents devant plus tard devenir eux-mêmes des formateurs et des éducateurs. C’est durant plus de trente ans que Tabâtabâi’ alimenta le centre d’enseignement et d’études religieuses avec ses commentaires, ses conférences et ses écrits tant philosophiques que métaphysiques, avec ses conclusions tant religieuses que logiques; ses cours formèrent des hommes pieux, vertueux, rationnels et forts. Ses ouvrages ont eu de profonds effets en Iran et dans les pays islamiques. Ce grand homme avait à cœur de mettre en place des débats libres à l’intention des étudiants, des universitaires et même des intellectuels européens, pour discuter et faire éclater la vérité islamique. Or il finit par lancer ces débats, sortes de polémiques amicales qui non seulement avaient pour but de compléter les cours déjà donnés à la suite les nombreuses questions que les étudiants n’auraient pas manqué de poser, mais encore pour éclairer communauté islamique et les étrangers sur les problèmes qui leur semblaient obscurs. Ces débats comportaient tout naturellement des critiques, des échanges de vue d’où aurait jailli la vérité. Il continuait l’héritage des débats scientifiques et moraux des prophètes. Ces derniers accueillaient à bras ouverts les débats. Tabàtabâi était convaincu que la science métaphysique surpassait les autres sciences Il disait que la révélation guidait et inspirait l’humanité. II ajoutait que les métaphysiciens, ceux qui possédaient la révélation, surpassaient les autres hommes et exerçaient sur eux une sorte de maîtrise. Tabâtabaî accueillait à bras ouverts les visiteurs, ceux qui voulaient discuter avec lui. Il suivait en cela l’exemple du Prophète de l’Islam. Il racontait à cet effet le récit que voici: “Un jour les Chrétiens de Nadjran se rendirent auprès du Prophète pour discuter avec lui. Ils allèrent donc à la mosquée; le moment de leur prière arrivait et les Musulmans aussi, de leur côté, voulaient prier ayant le Prophète comme imam. Le muezzin appela les fidèles â la prière et les Chrétiens de leur part firent sonner les cloches, dans la mosquée, en présence du Prophète et des autres fidèles. Les Musulmans protestèrent et firent remarquer au Prophète que ces Chrétiens faisaient sonner les cloches en sa présence. Le Prophète répondit: ” Attendez un peu, nous allons peu à peu par l’édification, transformer le son de ces cloches en chant de muezzin “. Cette grande âme qui accueillait tout le monde à bras ouverts, des gens qui professaient des opinions contraires aux siennes, discutait avec eux, les éclairait doucement et finissait par les convertir. Le nombre de ceux qui se sont convertis à l’islam grâce à la parole convainquante de Tabâtabâi est très grand.
Les disciples, savants et érudits, que allamé Tabâtabâi’ a formé, bénéficient aujourd’hui de la confiance de tout le monde. Ils étaient épris de son caractère et de son savoir. Ils avaient coutume de dire que s ils n’avaient pas eu un tel maître, jamais ils ne seraient parvenus à leurs objectifs, et jamais ils n’auraient pu cueillir les fruits de leurs œuvres dans ce monde et dans l’autre.
Son caractère était tel qu’il évitait la suffisance et l’emphase. Il s’évertuait à ne pas se montrer savant dans ses débats; le mobile de ses actes était de satisfaire Dieu. Ses disciples ont rapporté que durant les longues années qu’ils ont passées avec lui, ils n’ont pas souvenance ne fut ce qu’une fois, que le maître ait voulu faire montré de sa science tant il était simple et modeste.
Si quelqu’un voyageait avec lui un an durant, jamais il n’aurait cru que cet homme était l’auteur de la nouvelle méthode du commentaire du Coran et le créateur des règles nouvelles dans l’explication des problèmes philosophiques, s’il n’avait su d’avance avec qu’il voyageait et n’avait pas eu connaissance de son vaste savoir.
Tabâtabài possédait également des dons lyriques et composait des poèmes. Il aimait de même les paysages de la nature. Allamé Tabâtabâi avait à cœur de suivre la tradition du Prophète: l’ouvrage “Sonan al-Nabi” (Traditions du Prophète) est le fruit de cette attitude. Il croyait comme un devoir sérieux de combattre les innovations qu’on introduisait dans la religion.
D’autre part, Tabâtabài s’efforçait de faire connaître le Chiisme dans ses vraies dimensions. Selon ce grand homme le Chiisme consistait à suivre minutieusement la tradition du Prophète, pratiquement, et théoriquement, par les actes et par les paroles. Il déclarait qu’il ne sied nullement de suivre un dirigeant injuste et inique. Il ajoutait qu’il ne faut se soumettre qu’à Dieu, à son Prophète et aux Imams que le Prophète a désignés. Tabâtabâi a développé ces idées dans tous ses écrits, durant toute son existence.
Son ouvrage “Le Chi’isme dans l’Islam” est l’un de ses écrits fondamentaux. Tabâtabâi savait qu’un livre simplement et clairement conçu et en même temps profondément pensé était nécessaire pour présenter la nature et l’essence du Chi’isme. Il serait ainsi à même d’éclairer les chercheurs qui, souvent, se laissent détourner de la vérité.
Allamé Tabâtabâi’ disait que pour ne pas se tromper dans l’observance de la tradition du Prophète et pour être sûr et certain qu’on suit exactement cette tradition, on doit appliquer pour cela les préceptes des membres de la famille du Prophète qui ne sont que les Imams infaillibles, capables par leur science et leur inspiration, de guider dans la voie droite les Musulmans du monde, conformément aux indications du Coran et de la tradition prophétique. Ce sont encore ces Imams qui peuvent empêcher que l’islam dévie et sauver de toute erreur, la communauté islamique pour la guider vers Dieu.
Voici quelques ouvrages d Allâmé Tabâtabâi que nous présentons aux lecteurs.
Allâmé Tabâtabâi a touché à presque toutes les sciences islamiques, philosophiques, métaphysiques, fiqh, commentaires, traditions…
Nous allons citer quelques un de ses ouvrages sur les différents aspects de la religion et de la métaphysique, étayés de hautes pensées:
1- “Commentaire de Al-Mizan”, écrit en arabe, traduit en persan en 40 volumes.
2- “Les Principes de la Philosophie et la Méthode réaliste” (Ossul-é-falsafeh-va-Ravech-Réalisme) en 5 volumes, dont 4 sont déjà imprimés.
3- Notes en marges sur l’ouvrage “Asfar”, de Sadrod-Din de Chiraz, dont 7 volumes sont déjà imprimés.
4- “Entretiens avec H. Corbin, orientaliste français” (en 2 volumes), dont un a été imprimé en 1339 (1960), dans l’Annuaire du Maktabé-Tachayyo. L’autre volume a indépendamment paru.
5- “Traité sur le Gouvernement islamique”, an persan, allemand et arabe.
6- “Essai sur la puissance et l’acte” (Qoweh-va-fél.)
7- “Essai sur la démonstration”.
8- “Démonstration de l’Essence” (Essbaté Zât).
9- “Essai sur l’Homme avant le monde (la création)”.
10- “Essai sur l’Homme dans le Monde”.
11- “Essai sur l’Homme après le monde”.
12- “La Prophétie”.
13- “La Valayat”.
14- “Les Preuves”.
15- “Le Sophisme” (Mogalitah).
16- “L’Analyse”.
17- “La Synthèse”.
18- “Sur la Subjectif”.
19- “L’Ecriture calligraphique Nasta’âligh “.
20- “Sur la Prophétie et les étapes” (Nobowat-va-Magamat)
21- “Ali et la Philosophie divine”.
22- “Le Coran dans l’islam “.
23- “Le Chi’isme dans l’islam”.
24- “Nombreux articles scientifiques parus dans les périodiques”.
25- “Jugement sur les correspondances”.
26- “lntroduction à la sagesse”.
27- “La Perfection de la Sagesse”.
Ces deux derniers ouvrages comportent des textes philosophiques importants, étudiés au Centre d’Enseignement des Sciences religieuses, à Qom.
28- “Le Résumé de l’Enseignement de l’Islam”.
29- “Questions sur l’Islam”.
30- “L’islam et l’Homme contemporain”.
31- “Essai sur les attributs de Dieu”.
32- “Essai sur les Moyens”.
33- “En marge de l’ouvrage ” Kifayé”.